Cartes Postales

Cartes postales de Louveciennes

  • En descendant la rue des Creux – Rue du Maréchal Joffre

    La rue des Creux fut rebaptisée rue du Maréchal Joffre le 6 août 1922. Nous démarrons au carrefour de cette vieille voie d’entrée dans le village avec le chemin des Gressets, où se trouve la propriété du Maréchal Joffre (voir notre article sur cette demeure et la vie du Maréchal Joffre à Louveciennes). Sur la droite le terrain qui allait devenir la Châtaigneraie. Sur la gauche, la propriété de La Pelouse. Au second plan, on aperçoit le clocher de l’Eglise de Louveciennes. Continuons à descendre. Sur la gauche, au 10, le Clos Myriême. Cette demeure a notamment accueilli à partir de 1920, le peintre polonais Léon Kamir (1872 – 1933).…

  • Le bois de Louveciennes

    Promenade immersive dans le bois de Louveciennes. Au XVII ème siècle, le bois de Louveciennes faisait partie comme la Forêt de Marly des biens de la Couronne. Le Roi et sa courre y chassait le gibier abondant à cette époque. Le bois de Louveciennes a longtemps été une source d’approvisionnement en bois pour le chauffage mais sous autorisation. Il n’éxiste que quelques cartes postales du bois de Louveciennes. Cette première carte du début du XX ème siècle est une vue de la descente de l’allée qui se trouve en face de « l’Etang Sec ». Cette partie du bois que l’on appelle l’Etang sec était jusque dans les années 70 un marécage…

  • Le quartier des Gressets, Le Camp

    Nous entrons dans Louveciennes par le haut de la rue des Creux, ancien nom de la rue du Maréchal Joffre. La première carte postale a été prise au niveau de l’intersection du chemin des Gressets (sur la droite) et de la (rue des Creux) rue du Maréchal Joffre avec l’Eglise au second plan. La rue des Creux reprend l’ancien tracé du sentier des Deux-Portes qui au temps de Louis XIV conduisait de la route nationale au village de Louveciennes. Nous avancons (sur la droite) dans le chemin des Gressets pour arriver dans le quartier du Camp mais savez vous pourquoi « Le Camp » ? Il faut remonter à l’époque de Louis…